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Par TIFET le 21 Juin 2013 à 18:02
Je participe avec d'autres artistes peintres à cette expo, qui aura lieu du 30 juin à début septembre, ce sont 2 de mes "oeuvres" qui vous invitent dans cette petite chapelle qui date de 1536 et qui a été restaurée par des bénévoles, l'Association des Amis de St Sébastien, si vous souhaitez en savoir plus sur cet édifice
www.les-chapelles-de-frehel.net/lassociation_des_amis_de_la_chapelle_saint_sebast.html
Travail en cours :
-argile blanche chamottée et cep de vigne encore et toujours
Elle est en cours de séchage........j'attends qu'elle adhère moins au plastique que j'ai inséré entre le bois et l'argile pour l'enlever et la faire cuire, évidemment pas avec le cep de vigne !!! si je veux le conserver............
- Un "taïchi-man", argile marron chamottée et paperclay
en fait comme je pratique le taïchi depuis plusieurs années, j'ai eu envie de reproduire un des 108 mouvements de la forme Taïchi-Chuan style yang traditionnel, et celui-ci s'appelle : "Simple fouet"
Il mesure 36 cm et je l'ai installé sur une base en béton cellulaire
Il est prêt à "démarrer" !
Peut-être pour le prochain "frapper les oreilles du tigre"..........
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Par TIFET le 18 Mai 2013 à 20:40
Je suis née en Champagne et c'est donc tout naturellement que j'essaie d'associer les ceps de vignes et l'argile, rappelez-vous Melle de Turquant Melle de TURQUANT
Cette fois-ci, le cep est devenu un terrain de jeux pour deux petits enfants, ELO et MAEL, argile chamottée et paperclay, ils sèchent tranquillement dans l'atelier.........
ELO veut intéresser MAEL avec sa marionnette mais apparemment il s'en moque un peu..............
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Par TIFET le 18 Mai 2013 à 10:42Pour compléter mon dernier article LES LEPREUX je vous invite à lire cet article du Progrès Egyptien, quotidien francophone, du 26 février 2013.......
De nos jours, la lèpre existe aussi en Egypte..........................ABOU ZAABAL..............Peu de gens le savent :De nos jours la lèpre reste une maladie très répandue dans le monde, malgré les efforts d'éradication. Malgré les traitements efficaces qui existent, le diagnostic de lèpre reste redouté et mal vécu encore, peut-être dans notre société... Repérer le lépreux vise à arrêter la contagion, confusément pressentie, en excluant le malade de la société, mais aussi à le désigner comme impur.
Ils vivent souvent oubliés
Selon les spécialistes, la lèpre, à la différence de la tuberculose, dont elle est proche, est causée par un bacille très lent à se reproduire.
Ce bacille ayant été identifié en Norvège, il porte le nom de son découvreur : Hansen. Elle n'est pas héréditaire, quoique certaines familles soient plus réceptives au bacille.
Abou Zaabal , zone loin du Caire à 40 Km du nord de la capitale, dans le gouvernorat de Qalioubiya. Cette zone est connue pour ses grandes usines, mais l’endroit de la colonie des lépreux est inconnu pour la plupart des gens en Egypte, et quelquefois oublié par les autorités du pays. Plus de 650 patients sont encore en vie là-bas, avec un nombre qui s’élève à 3000-3500 lépreux guéris qui vivent dans le village aux alentours de cette léproserie à Abou Zaabal.
La ville d’Abou Zaabal à été construite pendant la période du roi Farouk en 1933, comprenant un hôpital, dont une grande partie est consacrée pour les hommes et une plus petite pour les femmes. L’hôpital a été aménagé, à plusieurs reprises, et est à présent le plus grand hôpital de la lèpre au Moyen Orient et en Afrique, doté de moyens modernes grâce à des rénovations par des ONG égyptiennes, internationales, (Caritas) et étrangères.
Arrêtés par la police !
Au cours de la visite à Abou Zaabal, le directeur de l’Association Caritas, Dr Magdi Garas, a fait allusion à l’historique de cette maladie en Egypte, et comment le gouvernement égyptien avait adopté les mesures nécessaires pour prévenir la contagion ou l’extension de l’endémie. Dr Garas a regretté qu’auparavant, les lépreux étaient arrêtés par la police.
Le directeur de l’hôpital d’Abou Zaabal, Dr Salah Abdel Nabi, a pour sa part, parlé, d’une façon simple, de la maladie, tout en jetant la lumière sur l’handicap que cause la lèpre, et a présenté des chiffres et des statistiques concernant la maladie.
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Par TIFET le 14 Mai 2013 à 18:48
Le poulpe et le scaphandre sont passés au four, pas de bobo, j'avais un peu peur vu la complexité du montage des différents morceaux
une petite boite en engobe citrouille pour faire des essais
une drôle de petite bête dans une feuille de choux
engobe citrouille et couverte tranparente sur une terre céramique fine
et puis un petit dernier en terre égyptienne, terre émaillée qui a séjourné dans l'eau très longtemps et du coup, la couleur est improbable mais elle me plait bien
avec des reflets verts
et enfin mes petits lépreux qui sont terminés et prêts pour l'expo de la Chapelle St Sébastien à Frehel, qui aura lieu du 15 juin à début septembre, je les ai fixés sur un morceau de sapin trouvé dans la forêt, poncé et teinté, comme cela ils sont stables.......
A bientôt pour d'autres sculptures en cours...........
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Par TIFET le 1 Mai 2013 à 09:05
Voilà, juste en colombins et pas de tournage, trois vases canopes pour vous rappeler l'EGYPTE !!!
Durant le premier jour de la momification, les organes étaient retirés du cadavre. Les viscères (foie, poumons, instestins et estomac) bénéficiaient d'une momification. Ils étaient ensuite placés dans ces récipients en forme de vase fermé par un couvercle, ils symbolisent les quatre fils d'Horus, chacun représente un viscère, une divinité particulière et un point cardinal
J'ai eu envie d'en fabriquer trois, le quatrième en forme de tête humaine, dont le nom est Amset, divinité Isis et point cardinal Sud, n'est pas encore fait
le premier sur la gauche se nomme Douamoutef, tête de chacal, point cardinal Est, divinité Neith
celui du milieu Hâpi, tête de babouin, point cardinal Nord, divinité Nephtys
et celui de droite, Qebeshenouf, tête de faucon, point cardinal Ouest, divinité Selket
Le couvercle était scellé par de la résine, des onguents, souvent le nom du défunt et des formules funèraires étaient gravés sur les vases (ceux-ci sont inspirés de vases canopes exposés au British Muséum).
Tous trois sont en céramique avec des patines au lait et pigments naturels
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